12 Février 2014.
Après ma première expérience non concluante comme Kitchen Hand, me voici de nouveau à l’affût du bon plan.
Quelques entretiens passés sans aucun résultat positif, gardons espoir, aujourd'hui je tiens le bon bout, j'ai une piste pour un emploi.
[...]Après quelques minutes de recherche je me rends compte que ce travail me propose de disposer d'argent qui n'est pas le mien (et de grosses somme d'argent), venant de je ne sais où, de le transférer sur d'autres comptes, bref, une histoire sordide de blanchissement d'argent...mais qui sont-ils? Que me veulent-ils?
19 Février 2014.
Après ma déconvenue de la semaine dernière, que va-t-il m'arriver?
Très simple, pour cela il suffit de remonter à la veille, nous sommes donc le 18, et comme le temps est à la fête, nous sommes tous réunis aux alentours du backpacker, goon et guitare, nous buvons, jouons aux cartes, nous faisons un peu de bruit, certes, mais pas de quoi fouetter un chat.
Voilà plus d'un mois que je suis dans ce backpacker à voir mon argent se dilapider pour dormir dans des chambres de 4, et partager notamment ma chambre avec un fou qui rigole tout seul dans la nuit, se lève, et parle au mur, assez flippant, mais peut être pas autant que son odeur...
Ce soir le pressentiment est clair, Fabien, fais tes valises et vas-t-en!
C'est en tout cas comme ça que s'est finie la soirée.
Alors que je pensais renouveler pour une semaine, au matin du 19 Février, j'apprends que je suis viré de l'Hostel, ayant été, dixit le Night Audit "désobligeant, insultant, bourré et j'en passe"... bizarre, je n'ai pas été en contact avec cette personne de la nuit... Je crois surtout qu'il fallait prendre quelqu'un pour responsable, et comme je suis rentré en dernier, avec une Aborigène de surcroît, il n'en a pas fallu plus.
On est le 19 au matin, je n'ai pas de taf, je n'ai plus de logement, et j'ai accessoirement la gueule de bois.
J'attends 3 heures assis sur un banc, à essayer de comprendre ce qu'il s'est réellement passé la veille, mes potes se relaient les uns les autres, et apprennent la nouvelle.
Je réserve alors rapidement en ligne quelques nuits au Discovery de Melbourne, un autre backpacker à 10 minutes de marche du YHA histoire de ne pas me retrouver bloqué dehors, en cas d'occupation complète de l'hostel.
Même si cet Hostel semble être intéressant sur plusieurs points de vues (boite de nuit, salle de cinéma, petit-déjeuner offert, agence de voyage, agence pour l'aide à l'emploi...) mon esprit, lui, est déjà ailleurs, il faut que je parte c'est décidé!
mardi 31 mars 2015
Mon premier job!!! Kitchen Hand
Peut-être que le mois de Février est un mois qui me porte chance!
En effet, c'est le mois où j'ai quasiment toujours trouvé du travail en France, et il semblerait que ça soit la même en Australie.
Nous sommes le vendredi 7 Février 2014, et ce soir je fais ENFIN mon premier essai dans un restaurant en tant que Kitchen Hand.
Bien que l'expression laisse envisager quelque chose de plus "classe", il s'agit tout simplement du poste de plongeur, soit.
Le chef a l'air cool, il est jeune, Australien, son commis est quant à lui Anglais.
Habituellement le restaurant fait 80 couverts, mais ce soir ils se sont tous passés le mot pour mon jour d'essai puisqu'on aura réalisé 124 couverts, soit une bonne soirée RUSH comme on les aime (...ou pas!).
Je cours dans tous les sens, je manque de me vautrer toutes les 5 minutes puisque les seules chaussures que j'ai à ma disposition ne sont absolument pas adaptées pour les sols glissant, une vrai galère.
Malgré ma bonne maîtrise de l'Anglais, sous le rush j'ai un peu de mal à me repérer sur les tâches à accomplir, la nouveauté, le bruit et l'accent n'aidant pas.
Même si je termine mon travail à l'heure, pour une première soirée plutôt agitée, le chef m'annonce de suite que je ne ferai pas l'affaire, les raisons invoquées : je ne parle pas assez bien l'Anglais... très difficile à avaler!
Bilan après 3 mois en Australie, un seul jour de travail à mon actif, la route va être longue, très longue!
En effet, c'est le mois où j'ai quasiment toujours trouvé du travail en France, et il semblerait que ça soit la même en Australie.
Nous sommes le vendredi 7 Février 2014, et ce soir je fais ENFIN mon premier essai dans un restaurant en tant que Kitchen Hand.
Bien que l'expression laisse envisager quelque chose de plus "classe", il s'agit tout simplement du poste de plongeur, soit.
Le chef a l'air cool, il est jeune, Australien, son commis est quant à lui Anglais.
Habituellement le restaurant fait 80 couverts, mais ce soir ils se sont tous passés le mot pour mon jour d'essai puisqu'on aura réalisé 124 couverts, soit une bonne soirée RUSH comme on les aime (...ou pas!).
Je cours dans tous les sens, je manque de me vautrer toutes les 5 minutes puisque les seules chaussures que j'ai à ma disposition ne sont absolument pas adaptées pour les sols glissant, une vrai galère.
Malgré ma bonne maîtrise de l'Anglais, sous le rush j'ai un peu de mal à me repérer sur les tâches à accomplir, la nouveauté, le bruit et l'accent n'aidant pas.
Même si je termine mon travail à l'heure, pour une première soirée plutôt agitée, le chef m'annonce de suite que je ne ferai pas l'affaire, les raisons invoquées : je ne parle pas assez bien l'Anglais... très difficile à avaler!
Bilan après 3 mois en Australie, un seul jour de travail à mon actif, la route va être longue, très longue!
A la decouverte de Melbourne...Acte II
Les jours s’enchaînent au rythme paisible de Melbourne.
Une routine s'installe, mais pas dans le sens que je voudrais.
Je suis toujours à la recherche du Graal, ce fameux job qui pourrait me sortir de ce stress permanent et redonner un peu de couleurs à mon compte en banque.
Il n'y a rien de plus usant que de devoir rechercher du boulot en permanence.
Comme une impression que l'Australie ne me veut pas.
Je me pose beaucoup de questions, j'ai un bon niveau d'Anglais, j'ai des expériences solides sur différents domaines, je ne comprends pas.
Peut-être que je ne m'y prends pas bien dans mes recherches, autour de moi, les plus fraîchement arrivés trouvent un job les uns après les autres, cela devient agaçant.
Mon rythme oscille alors entre recherches incessantes dès le matin et une bonne partie de l’après-midi, puis de temps à autre, direction la plage pour m’aérer l'esprit, St Kilda ma seconde maison après le YHA.
L'ambiance est proche de ce que j'attends de l'Australie, le coin a également beaucoup de charme, et étant très proche de la ville, c'est le compromis idéal.
Le problème est que, forcément, nous sommes des millions à rechercher un job dans ce quartier, le succès se paie toujours au prix fort!
Même les mouches aiment cet endroit c'est dire.
Vous savez ces agréables petites bestioles très civilisées sur le continent mais totalement "fucked up" ici.
Si vous êtes chanceux d'ailleurs, elles n’hésiteront pas à vous suivre jusqu’à votre domicile; j'ai fait la rencontre d'une d'entre elles qui a pris le tramway avec moi et m'a collée pendant bien vingt minutes, dingue!
Mes recherches m'apportent quelques espoirs, sans pour autant se concrétiser. J'ai même passé un entretien dans un bar entre 2 shots de tequilas, ce qui était quand même assez cocasse! ...En même temps, j’étais dans un bar de motards, je crois qu'il n'y aurait pas eu d'autres alternatives pour attirer l'attention du patron que de s'enfiler quelques shots et de parler business ensuite.
Ne me laissant pas abattre je n'oublie pas de profiter de mes soirées comme il se doit, après tout, je vis dans une auberge de jeunesse.
Généralement une soirée typique de "Backpacker" se déroule autour d'un jeu de cartes, et d'un cubis de Goon.
Alors le "Goon" qu'est ce que c'est?
Littéralement "piquette", le Goon est un cubi de vin (rouge/rose/blanc) de 4.5L (soit 1 Gallon) à très faible coût ($9-$17) et aussi de piètre qualité.
A l'origine, ce type de vin était utilisé pour cuisiner, mais le coût de la vie en Australie étant relativement excessif, spécialement pour nous autres pauvres Français, le Goon devient alors l'alcool par excellence pour finir bourré à des prix raisonnables.
Mais pour vous donner un aperçu, jeunes fougueux que nous sommes, ce que nous ingérons quand nous buvons du Goon n'est ni plus ni moins que l’équivalent de la Villageoise en France...c'est presque tout aussi moche de le dire que d'en boire.
Les restrictions en terme de conservation des aliments et surtout de la boisson étant un peu particulières en Australie, le Goon est victime de nombreuses controverses quant à sa composition, on parle alors de restes de poissons, d’œufs, de lait...autant d’ingrédients qui seraient susceptible d'en faire fuir plus d'un, et bien non en fait.
Alors attention, si vous y allez un peu fort sur le cubi (parlons clairement si vous vous descendez le cubi à vous seul) c'est le mal de tête assuré le lendemain, aussi appelé "Hangover" en Anglais.
Personnellement je n'ai pas eu besoin d'en boire autant, le mal de tête a été pour ma part casi automatique après chaque biture avec ce doux breuvage, comme certains autres produits Australiens: PLUS JAMAIS!!!
Nous sommes fin janvier, la ville vit au rythme de l'OPEN d'Australie, cette compétition majeure dans le monde du Tennis. Aussi des grands écrans sont dispersés dans la ville, et dans tous les bars et hostels backpackers nous avons le droit à la diffusion des matchs. A la différence de certaines villes, on sent qu'à Melbourne, le sport tiens une place très importante!
On sent l'effervescence, il y a de la vie dans cette ville!
En faisant le tour des rues, il y a toujours un spectacle de "street art" ou une simple performance.
Je me rappel de ce jour du 31 Janvier 2014, Une femme très âgée, entre 80-90 ans je dirais, en train de nous pondre un récital en plein Melbourne, sur son piano relié à un petit ampli, directement branché sur une batterie,ici malgré l'âge, les doigts rongés par l'arthrose, je dis respect et je m'incline!
le talent, la force et le courage quelle leçon de vie!
Une routine s'installe, mais pas dans le sens que je voudrais.
Je suis toujours à la recherche du Graal, ce fameux job qui pourrait me sortir de ce stress permanent et redonner un peu de couleurs à mon compte en banque.
Il n'y a rien de plus usant que de devoir rechercher du boulot en permanence.
Comme une impression que l'Australie ne me veut pas.
Je me pose beaucoup de questions, j'ai un bon niveau d'Anglais, j'ai des expériences solides sur différents domaines, je ne comprends pas.
Peut-être que je ne m'y prends pas bien dans mes recherches, autour de moi, les plus fraîchement arrivés trouvent un job les uns après les autres, cela devient agaçant.
Mon rythme oscille alors entre recherches incessantes dès le matin et une bonne partie de l’après-midi, puis de temps à autre, direction la plage pour m’aérer l'esprit, St Kilda ma seconde maison après le YHA.
L'ambiance est proche de ce que j'attends de l'Australie, le coin a également beaucoup de charme, et étant très proche de la ville, c'est le compromis idéal.
Le problème est que, forcément, nous sommes des millions à rechercher un job dans ce quartier, le succès se paie toujours au prix fort!
Même les mouches aiment cet endroit c'est dire.
Vous savez ces agréables petites bestioles très civilisées sur le continent mais totalement "fucked up" ici.
Si vous êtes chanceux d'ailleurs, elles n’hésiteront pas à vous suivre jusqu’à votre domicile; j'ai fait la rencontre d'une d'entre elles qui a pris le tramway avec moi et m'a collée pendant bien vingt minutes, dingue!
Mes recherches m'apportent quelques espoirs, sans pour autant se concrétiser. J'ai même passé un entretien dans un bar entre 2 shots de tequilas, ce qui était quand même assez cocasse! ...En même temps, j’étais dans un bar de motards, je crois qu'il n'y aurait pas eu d'autres alternatives pour attirer l'attention du patron que de s'enfiler quelques shots et de parler business ensuite.
Ne me laissant pas abattre je n'oublie pas de profiter de mes soirées comme il se doit, après tout, je vis dans une auberge de jeunesse.
Généralement une soirée typique de "Backpacker" se déroule autour d'un jeu de cartes, et d'un cubis de Goon.
Alors le "Goon" qu'est ce que c'est?
Littéralement "piquette", le Goon est un cubi de vin (rouge/rose/blanc) de 4.5L (soit 1 Gallon) à très faible coût ($9-$17) et aussi de piètre qualité.
A l'origine, ce type de vin était utilisé pour cuisiner, mais le coût de la vie en Australie étant relativement excessif, spécialement pour nous autres pauvres Français, le Goon devient alors l'alcool par excellence pour finir bourré à des prix raisonnables.
Mais pour vous donner un aperçu, jeunes fougueux que nous sommes, ce que nous ingérons quand nous buvons du Goon n'est ni plus ni moins que l’équivalent de la Villageoise en France...c'est presque tout aussi moche de le dire que d'en boire.
Les restrictions en terme de conservation des aliments et surtout de la boisson étant un peu particulières en Australie, le Goon est victime de nombreuses controverses quant à sa composition, on parle alors de restes de poissons, d’œufs, de lait...autant d’ingrédients qui seraient susceptible d'en faire fuir plus d'un, et bien non en fait.
Alors attention, si vous y allez un peu fort sur le cubi (parlons clairement si vous vous descendez le cubi à vous seul) c'est le mal de tête assuré le lendemain, aussi appelé "Hangover" en Anglais.
Personnellement je n'ai pas eu besoin d'en boire autant, le mal de tête a été pour ma part casi automatique après chaque biture avec ce doux breuvage, comme certains autres produits Australiens: PLUS JAMAIS!!!
Nous sommes fin janvier, la ville vit au rythme de l'OPEN d'Australie, cette compétition majeure dans le monde du Tennis. Aussi des grands écrans sont dispersés dans la ville, et dans tous les bars et hostels backpackers nous avons le droit à la diffusion des matchs. A la différence de certaines villes, on sent qu'à Melbourne, le sport tiens une place très importante!
On sent l'effervescence, il y a de la vie dans cette ville!
En faisant le tour des rues, il y a toujours un spectacle de "street art" ou une simple performance.
Je me rappel de ce jour du 31 Janvier 2014, Une femme très âgée, entre 80-90 ans je dirais, en train de nous pondre un récital en plein Melbourne, sur son piano relié à un petit ampli, directement branché sur une batterie,ici malgré l'âge, les doigts rongés par l'arthrose, je dis respect et je m'incline!
le talent, la force et le courage quelle leçon de vie!
mercredi 11 mars 2015
A la découverte de Melbourne...acte I
Il est réellement temps de trouver du boulot, la situation commence à devenir urgente, et l'argent économisé l’année dernière pour me payer ce voyage s'amenuise de jours en jours.
De plus, l'hostel backpacker où je suis situé est complet, il est donc temps pour moi de trouver un autre logement, en attendant de pouvoir trouver du travail je décide temporairement de me loger au YHA METRO, une autre auberge de jeunesse située au nord de la Ville.
Je décide donc d'activer mes recherches et j'alterne entre des journées passées au Peter Pan's pour faire des recherches sur internet, et faire du porte à porte pour démarcher des éventuels employeurs.
Peter Pan's fonctionne un peu comme une association qui vient en aide aux backpackers.
Ici il est possible d’accéder à internet gratuitement (des ordinateurs sont mis à disposition), d'avoir quelques plans pour du boulot, d'avoir de l'aide pour les Tax Return (je reviendrais ultérieurement en détail sur ce qu'est le Tax Return).
Cette association fait aussi office d'agence de voyage, il est donc possible via Peter Pan's de booker à peu près n'importe quel tour en Australie (encore faut-il avoir de l'argent...)
Ayant pour objectif de travailler dans l’hôtellerie/Restauration, branche qui me semble être intéressante d'un point de vue opportunités et pour parfaire mon anglais, je décide donc de passer mon RSA (Responsible Service of Alcohol).
Il s'agit d'un diplôme à obtenir à l'issue d'une journée de formation, sur les mises en garde et les lois liées à la vente d'alcool en Australie.
Pour infos ces lois divergent d'un État à un autre, mais l'obtention du diplôme reste obligatoire dès lors que vous travaillez dans un milieu où l'on vend de l'alcool.
Il est possible de passer son RSA pour la totalité des 5 États, ou de le passer que dans l’État dans lequel vous vivez.
Voulant économiser un max de tunes, et ne pas avancer une centaine de dollars, j'ai donc passé le RSA valable uniquement dans l’État du Victoria (l’État où se situe Melbourne).
En faisant le paiement en ligne, le tarif est de $50.
RSA en poche (hourra, mon premier diplôme en Australie), je visite la ville au gré de mes recherches de jobs.
Bien qu'il s'agisse d'une grande ville, l'ambiance semble être différente de Sydney. On sent ici moins de stress, la ville est plus ouverte, aérée, beaucoup d'espaces verts aux environs, et la proximité avec St Kilda permet de se rendre facilement depuis le centre ville, à ce petit quartier en périphérie de la ville, situé juste au bord de l'eau, parfait pour aller se rafraichir. (La plage de St Kilda est située à 20min de tramway du centre ville de Melbourne).
L'architecture est aussi assez différente des autres villes d'Australie, il y a ici un melting pot important. Ainsi nous trouvons des quartiers de style plus Européen,(quartiers Français, Italiens, Grecs), qui s'opposent au style plus Anglo-saxon de certaines rues et habitations.
La ville est très ouverte sur la culture, tout au long de l’année s'enchainent concerts, expositions ou évènement sportifs. Certaines rues offrent même en journée des petites activités créatives, des ventes de bijoux de toutes sortes sur des stands, des concerts improvisés, toujours en mode très "chill out".
Par exemple il est possible à Melbourne de faire la fête en version "sourdine". Concept très particulier, mais qui est assez marrant à voir. Il s'agit en fait de casques audio que l'on distribue aux personnes avec de la musique comme en condition de boite de nuit, à la différence qu'ici, tu es en centre ville de Melbourne, en pleine journée...un décalage pour le moins...étonnant!
Habitant maintenant dans Melbourne-Nord, je suis à deux pas du Queen Victoria Market. Il s'agit d'un immense marché couvert. En fait il y a deux marchés exactement, le premier en extérieur, sous un espèce de hangar, où se vendent fruits et légumes, comme tout bon marché traditionnel, les prix sont très intéressants, spécialement aux alentours de 13h00 quand ils soldent au maximum. L'adresse parfaite pour un backpacker.
Le deuxième est un marché couvert, dans un grand bâtiment, celui ci est fermé tous les lundi et mercredi. Ici on trouve tout ce qui est en rapport avec la viande, le poisson, mais aussi des spécialistes de chez nous, charcuteries, vins, fromages. En revanche les prix pour ces derniers sont exorbitants.
$89/kg pour le Saint-Agur
$140/kg pour le fromage de chèvre.
Soit 4 à 6 fois plus cher qu'en France, en moyenne. Autant dire que je n'ai que mes yeux pour pleurer. Un jour je tiendrais ma revanche! =).
Le marché extérieur quand à lui se transforme tous les mercredis soirs en Night Market. On y trouve une vingtaine de stands représentatif d'une vingtaine de pays (Australie/Usa/Argentine/France/Espagne/Taïwan/Philippines/Japon etc...). C'est le bon moyen pour voyager culinairement parlant.
Ce marché attire toujours énormément de monde, vu qu'ici en Australie, les gens aiment manger sur le pouce.
Il existe un autre type de market également, celui-ci a lieu tous les jeudis soir à St Kilda, c'est plus un rassemblement géant, en mode peace-love-et-jongleurs du dimanche! Si vous avez des dreads, tous vos frères sont là-bas!! ahah
L'ambiance y est très relaxe, cool comme vous pouvez vous l'imaginer... à voir et faire au moins une fois!
De plus, l'hostel backpacker où je suis situé est complet, il est donc temps pour moi de trouver un autre logement, en attendant de pouvoir trouver du travail je décide temporairement de me loger au YHA METRO, une autre auberge de jeunesse située au nord de la Ville.
Je décide donc d'activer mes recherches et j'alterne entre des journées passées au Peter Pan's pour faire des recherches sur internet, et faire du porte à porte pour démarcher des éventuels employeurs.
Peter Pan's fonctionne un peu comme une association qui vient en aide aux backpackers.
Ici il est possible d’accéder à internet gratuitement (des ordinateurs sont mis à disposition), d'avoir quelques plans pour du boulot, d'avoir de l'aide pour les Tax Return (je reviendrais ultérieurement en détail sur ce qu'est le Tax Return).
Cette association fait aussi office d'agence de voyage, il est donc possible via Peter Pan's de booker à peu près n'importe quel tour en Australie (encore faut-il avoir de l'argent...)
Ayant pour objectif de travailler dans l’hôtellerie/Restauration, branche qui me semble être intéressante d'un point de vue opportunités et pour parfaire mon anglais, je décide donc de passer mon RSA (Responsible Service of Alcohol).
Il s'agit d'un diplôme à obtenir à l'issue d'une journée de formation, sur les mises en garde et les lois liées à la vente d'alcool en Australie.
Pour infos ces lois divergent d'un État à un autre, mais l'obtention du diplôme reste obligatoire dès lors que vous travaillez dans un milieu où l'on vend de l'alcool.
Il est possible de passer son RSA pour la totalité des 5 États, ou de le passer que dans l’État dans lequel vous vivez.
Voulant économiser un max de tunes, et ne pas avancer une centaine de dollars, j'ai donc passé le RSA valable uniquement dans l’État du Victoria (l’État où se situe Melbourne).
En faisant le paiement en ligne, le tarif est de $50.
RSA en poche (hourra, mon premier diplôme en Australie), je visite la ville au gré de mes recherches de jobs.
Bien qu'il s'agisse d'une grande ville, l'ambiance semble être différente de Sydney. On sent ici moins de stress, la ville est plus ouverte, aérée, beaucoup d'espaces verts aux environs, et la proximité avec St Kilda permet de se rendre facilement depuis le centre ville, à ce petit quartier en périphérie de la ville, situé juste au bord de l'eau, parfait pour aller se rafraichir. (La plage de St Kilda est située à 20min de tramway du centre ville de Melbourne).
L'architecture est aussi assez différente des autres villes d'Australie, il y a ici un melting pot important. Ainsi nous trouvons des quartiers de style plus Européen,(quartiers Français, Italiens, Grecs), qui s'opposent au style plus Anglo-saxon de certaines rues et habitations.
La ville est très ouverte sur la culture, tout au long de l’année s'enchainent concerts, expositions ou évènement sportifs. Certaines rues offrent même en journée des petites activités créatives, des ventes de bijoux de toutes sortes sur des stands, des concerts improvisés, toujours en mode très "chill out".
Par exemple il est possible à Melbourne de faire la fête en version "sourdine". Concept très particulier, mais qui est assez marrant à voir. Il s'agit en fait de casques audio que l'on distribue aux personnes avec de la musique comme en condition de boite de nuit, à la différence qu'ici, tu es en centre ville de Melbourne, en pleine journée...un décalage pour le moins...étonnant!
Habitant maintenant dans Melbourne-Nord, je suis à deux pas du Queen Victoria Market. Il s'agit d'un immense marché couvert. En fait il y a deux marchés exactement, le premier en extérieur, sous un espèce de hangar, où se vendent fruits et légumes, comme tout bon marché traditionnel, les prix sont très intéressants, spécialement aux alentours de 13h00 quand ils soldent au maximum. L'adresse parfaite pour un backpacker.
Le deuxième est un marché couvert, dans un grand bâtiment, celui ci est fermé tous les lundi et mercredi. Ici on trouve tout ce qui est en rapport avec la viande, le poisson, mais aussi des spécialistes de chez nous, charcuteries, vins, fromages. En revanche les prix pour ces derniers sont exorbitants.
$89/kg pour le Saint-Agur
$140/kg pour le fromage de chèvre.
Soit 4 à 6 fois plus cher qu'en France, en moyenne. Autant dire que je n'ai que mes yeux pour pleurer. Un jour je tiendrais ma revanche! =).
Le marché extérieur quand à lui se transforme tous les mercredis soirs en Night Market. On y trouve une vingtaine de stands représentatif d'une vingtaine de pays (Australie/Usa/Argentine/France/Espagne/Taïwan/Philippines/Japon etc...). C'est le bon moyen pour voyager culinairement parlant.
Ce marché attire toujours énormément de monde, vu qu'ici en Australie, les gens aiment manger sur le pouce.
Il existe un autre type de market également, celui-ci a lieu tous les jeudis soir à St Kilda, c'est plus un rassemblement géant, en mode peace-love-et-jongleurs du dimanche! Si vous avez des dreads, tous vos frères sont là-bas!! ahah
L'ambiance y est très relaxe, cool comme vous pouvez vous l'imaginer... à voir et faire au moins une fois!
Cap sur “Marvellous Melbourne”.
17 Janvier 2014:
Après quelques jours de recherches de boulot, en vain, et de dépenses presque "inutiles" ($300 pour une semaine au YHA Central de Sydney...faute de place ailleurs), je décide de faire cap direction Melbourne, mais cette fois-ci en solitaire.
Les vols domestiques n’étant pas intéressants en terme de prix, surtout à cette période de l’année (à cause notamment de l'Open d'Australie qui attire énormément de monde), je décide de faire le voyage en bus avec la compagnie Greyhound; au programme 14h de trajet pour 900km!!
L'occasion pour moi de voir un peu de paysage.
Différents arrêts, dont 3 à Sydney, puis Liverpool, Canberra, Holbrook, Albury et enfin Melbourne.
2 stops pour manger, le premier dans la capitale, Canberra, et le second à Albury.
Fait intéressant, lorsque nous nous sommes arrêtés à Albury, le mercure indiquait une température de ... 49ºC!!! (la plus haute température que j'ai eu en Australie).
Le maximum tout pays confondu a été de 53ºC lorsque je vivais du côté de Bullhead City - Arizona (USA), j'ai eu 51ºC un autre jour, il s'agit donc de la 3ème plus haute température que j'ai connu (à exæquo avec Las Vegas).
Arrivé à Melbourne, je réserve quelques nuits au Greenhouse Backpacker Hostel.
Une bonne impression en arrivant, même si les chambres ne sont pas d'un grand luxe, l'espace de vie commune est assez intéressant (en tout cas moins lugubre que le YHA central de Sydney), billards, ordinateurs à disposition avec internet gratuit (ce qui est rare dans un backpacker) + un piano libre d’accès.
Affaires déposés, il est temps d'aller faire un tour en ville pour s’imprégner de l'ambiance, il est alors 21h00.
Pendant cette période il y avait cette campagne présente dans plusieurs grandes villes du monde mettant à disposition des pianos gratuits en ville, je ne me suis pas fait prier pour aller de suite m'asseoir sur un banc et jouer.
Sur Melbourne il y avait 24 pianos dissimulés ça et là. Pensant que c’était quelque chose sur le long terme, je n'ai pas eu le temps de jouer sur tous les pianos, mais seulement 4 d'entre eux...dommage!
Après quelques jours de recherches de boulot, en vain, et de dépenses presque "inutiles" ($300 pour une semaine au YHA Central de Sydney...faute de place ailleurs), je décide de faire cap direction Melbourne, mais cette fois-ci en solitaire.
Les vols domestiques n’étant pas intéressants en terme de prix, surtout à cette période de l’année (à cause notamment de l'Open d'Australie qui attire énormément de monde), je décide de faire le voyage en bus avec la compagnie Greyhound; au programme 14h de trajet pour 900km!!
L'occasion pour moi de voir un peu de paysage.
Différents arrêts, dont 3 à Sydney, puis Liverpool, Canberra, Holbrook, Albury et enfin Melbourne.
2 stops pour manger, le premier dans la capitale, Canberra, et le second à Albury.
Fait intéressant, lorsque nous nous sommes arrêtés à Albury, le mercure indiquait une température de ... 49ºC!!! (la plus haute température que j'ai eu en Australie).
Le maximum tout pays confondu a été de 53ºC lorsque je vivais du côté de Bullhead City - Arizona (USA), j'ai eu 51ºC un autre jour, il s'agit donc de la 3ème plus haute température que j'ai connu (à exæquo avec Las Vegas).
Arrivé à Melbourne, je réserve quelques nuits au Greenhouse Backpacker Hostel.
Une bonne impression en arrivant, même si les chambres ne sont pas d'un grand luxe, l'espace de vie commune est assez intéressant (en tout cas moins lugubre que le YHA central de Sydney), billards, ordinateurs à disposition avec internet gratuit (ce qui est rare dans un backpacker) + un piano libre d’accès.
Affaires déposés, il est temps d'aller faire un tour en ville pour s’imprégner de l'ambiance, il est alors 21h00.
Pendant cette période il y avait cette campagne présente dans plusieurs grandes villes du monde mettant à disposition des pianos gratuits en ville, je ne me suis pas fait prier pour aller de suite m'asseoir sur un banc et jouer.
Sur Melbourne il y avait 24 pianos dissimulés ça et là. Pensant que c’était quelque chose sur le long terme, je n'ai pas eu le temps de jouer sur tous les pianos, mais seulement 4 d'entre eux...dommage!
2014...sous les couleures de l'Australie
Ça y est, nous avons basculé sur une nouvelle année, la question est de savoir ce qu'elle me réservera.
Nous sommes le 6 Janvier 2014, et après avoir passé quelques jours du côté de Neutral Bay, chez des amis, je me procure un appart pour quelques jours en plein cœur de Sydney.
Les plans ont changé, après mûre réflexion, il est temps de chercher du travail en dehors de la ville, en effet, les mouvements de foule, l'odeur, le bruit, l'aura qui se dégage de la ville, le prix, la présence trop nombreuse de Français (et autres backpackers par ailleurs), tout ce matérialisme clairement affiché, ces hommes bodybuildés à coup de protéines et ces seins gonflés à coup de bistouri, m'ont convaincu que, Sydney, ce n’était pas pour moi.
Si tu es un parisien convaincu, avec un petit côté jet-set à la Saint-Tropez, alors oublie ce que je viens de dire, sinon fuit!!!
Sans doute un bon endroit à visiter au moins une fois dans sa vie, l'espace de 2/3 jours, disons 1 semaine, mais tout comme les "grosses" villes, rien de particulier n'émane de ce lieu.
Après avoir fait le touriste de base à prendre sa photo du Harbour Bridge, et de l'Opera, il ne reste à vrai dire plus grand chose à faire à Sydney même, du moins plus grand chose qu'une autre mégapole n'offrirait pas!
Les très convoitées plages de Bondi et Manly n'ont pas retenu mon attention, clairement surcotés, elles n'ont pas le charme d'une vraie plage sauvage (comme on peut trouver sur le Nord de la Côte Est, ou sur la Côte Ouest), ce ne sont que des plages de villes, en d'autres termes, rien à envier aux plages Françaises.
On s'attend clairement à mieux venant de l'Australie.
Le centre ville en soit n'as rien de très amusant, et même si certaines adresses sont de bonne facture, comme le Down Under, Le Maloney's, ou encore ce bar très réputé tenu dans un lieu qui avait servi de salle de jeu pendant la période de la prohibition, il n'en reste pas moins que le coût de la vie est extrêmement élevé, clairement pas le meilleur moyen pour économiser de l'argent, se relaxer, et se dépayser des grosses villes françaises.
Il existe des activités à faire bien entendu, mais là encore, c'est en dehors de Sydney que cela se passe, comme par exemple le parc animalier Morisset (1h30 de route), ou encore les magnifiques Blue Mountains (2h de route).
Autrement dit, le charme opère si l'on est fan des grosses villes, et si l'on a pas peur de faire 2/3h de route minimum pour voir quelque chose de différent.
Nous sommes le 6 Janvier 2014, et après avoir passé quelques jours du côté de Neutral Bay, chez des amis, je me procure un appart pour quelques jours en plein cœur de Sydney.
Les plans ont changé, après mûre réflexion, il est temps de chercher du travail en dehors de la ville, en effet, les mouvements de foule, l'odeur, le bruit, l'aura qui se dégage de la ville, le prix, la présence trop nombreuse de Français (et autres backpackers par ailleurs), tout ce matérialisme clairement affiché, ces hommes bodybuildés à coup de protéines et ces seins gonflés à coup de bistouri, m'ont convaincu que, Sydney, ce n’était pas pour moi.
Si tu es un parisien convaincu, avec un petit côté jet-set à la Saint-Tropez, alors oublie ce que je viens de dire, sinon fuit!!!
Sans doute un bon endroit à visiter au moins une fois dans sa vie, l'espace de 2/3 jours, disons 1 semaine, mais tout comme les "grosses" villes, rien de particulier n'émane de ce lieu.
Après avoir fait le touriste de base à prendre sa photo du Harbour Bridge, et de l'Opera, il ne reste à vrai dire plus grand chose à faire à Sydney même, du moins plus grand chose qu'une autre mégapole n'offrirait pas!
Les très convoitées plages de Bondi et Manly n'ont pas retenu mon attention, clairement surcotés, elles n'ont pas le charme d'une vraie plage sauvage (comme on peut trouver sur le Nord de la Côte Est, ou sur la Côte Ouest), ce ne sont que des plages de villes, en d'autres termes, rien à envier aux plages Françaises.
On s'attend clairement à mieux venant de l'Australie.
Le centre ville en soit n'as rien de très amusant, et même si certaines adresses sont de bonne facture, comme le Down Under, Le Maloney's, ou encore ce bar très réputé tenu dans un lieu qui avait servi de salle de jeu pendant la période de la prohibition, il n'en reste pas moins que le coût de la vie est extrêmement élevé, clairement pas le meilleur moyen pour économiser de l'argent, se relaxer, et se dépayser des grosses villes françaises.
Il existe des activités à faire bien entendu, mais là encore, c'est en dehors de Sydney que cela se passe, comme par exemple le parc animalier Morisset (1h30 de route), ou encore les magnifiques Blue Mountains (2h de route).
Autrement dit, le charme opère si l'on est fan des grosses villes, et si l'on a pas peur de faire 2/3h de route minimum pour voir quelque chose de différent.
Reveillon du jour de l'An...un spot de choix, juste en face de l'Opera
Nous y sommes, dernier jour de l’année 2013, qui aura été très intéressante en terme de rencontres et de voyages!
D'abord les Baléares en Octobre, Hong-Kong en Novembre, puis l'Australie depuis un peu plus d'un mois, pourvu que ça dure!!!
Aujourd'hui à Sydney, je m’apprête à vivre mon jour de l'an dans l'une des villes les plus prisées!
Le feu d'artifice est réputé comme l'un des plus spectaculaire au monde, et les Australiens s'en donnent les moyens.
Des 7h du matin, nous pouvons lire dans les journaux et voir sur les écrans de télé que des milliers de personnes font déjà la queue pour se rendre sur la place de l'Opera, on annonce une queue de 2km alors que les festivités n'auront lieu que dans 15h, c'est fou!
Je profite de ma journée tranquillement dans l'appartement d'un ami, sur Neutral Bay, petit quartier résidentiel paisible, situé à 1.5km au Nord du centre ville de Sydney.
Nous nous tenons prêts pour la soirée, le programme sera pré-soirée à l'appartement, puis direction le centre ville quelques minutes avant le feu d'artifice.
Nous sommes chanceux, en effet, le coloc de l'appartement travaille dans une banque située juste en face de l'Opera House (lieu ou sera tiré le feu d'artifice), il a donc les clés pour accéder à son bureau, au 10eme étage de la tour. Nous allons donc être aux premières loges.
La pré-soirée est intéressante, mais la suite s'annonce meilleure.
Nous arrivons sur les coups de 22h00 dans le bureau.
C'est comme une grande salle de rédaction, pleins de pc, de tables, mais également pleins de personnes. Chaque personne travaillant ici avait amené un membre de son entourage. Il y a du champagne, de la bière, de la vodka, l'alcool coule à flot. Certains jouent à GTA V projeté sur un mur, d'autres font des jongles avec un ballon de foot...c'est un peu du n'importe quoi je dois avouer, mais c'est drôle.
Quelques verres plus tard, nous assistons enfin au tant attendu feu d'artifice.
J'ai ouïe dire qu'il était long, et magnifique...mouais.
Effectivement, sur un point surélevé, c'est joli, il y a en fait 3 départs différents, donc si on est bien placé, nous pouvons voir les 3.
Un est tiré depuis l'Opera, l'autre depuis l'Harbour Bridge, et le troisième, juste en face.
2 déceptions majeures:
La 1ere est que, étant situé dans un building, nous ne pouvons pas ouvrir les fenêtres (ce ne sont que des vitres, mais sans porte), du coup nous n'avons pas de son...et ce qui fait aussi la magie d'un feu d'artifice, c'est aussi le son (comme quoi on peut pas tout avoir!)
2eme déception, la durée du feu d'artifice. A l'origine on m'avait annoncé quelque chose de l'ordre d'une heure. La réalité fût tout autre, seulement 12 minutes.
Je me suis senti quelque peu lésé; à vouloir trop vendre Sydney, les gens m'ont bien souvent plus dégouté de cette ville qu'autre chose.
C'est en tout cas le ressenti depuis un peu moins d'une semaine.
Feu d'artifice et bouteilles de rhums terminés, nous rejoignons le centre ville... il est environ 2h du matin, des millions de personnes sont dans les rues, l'occasion pour nous de prendre notre premier bain de foule de l’année car oui, nous sommes en 2014...pour l'occasion, bonne année a tous!
Après une attente assez longue, nous arrivons à trouver finalement un bus.
Un peu éméchés mais pas fatigués, nous finissons la soirée dans l'appartement.
C'est bon enfant, et l'ambiance est bonne.
Le jour de l'an se terminera à 13h00 le lendemain quand peu à peu, les derniers guerriers rendront l’âme.
Une longue journée où se sont mêlés, excitation, déception, amusement et alcool...intéressant comme dirait l'autre.
D'abord les Baléares en Octobre, Hong-Kong en Novembre, puis l'Australie depuis un peu plus d'un mois, pourvu que ça dure!!!
Aujourd'hui à Sydney, je m’apprête à vivre mon jour de l'an dans l'une des villes les plus prisées!
Le feu d'artifice est réputé comme l'un des plus spectaculaire au monde, et les Australiens s'en donnent les moyens.
Des 7h du matin, nous pouvons lire dans les journaux et voir sur les écrans de télé que des milliers de personnes font déjà la queue pour se rendre sur la place de l'Opera, on annonce une queue de 2km alors que les festivités n'auront lieu que dans 15h, c'est fou!
Je profite de ma journée tranquillement dans l'appartement d'un ami, sur Neutral Bay, petit quartier résidentiel paisible, situé à 1.5km au Nord du centre ville de Sydney.
Nous nous tenons prêts pour la soirée, le programme sera pré-soirée à l'appartement, puis direction le centre ville quelques minutes avant le feu d'artifice.
Nous sommes chanceux, en effet, le coloc de l'appartement travaille dans une banque située juste en face de l'Opera House (lieu ou sera tiré le feu d'artifice), il a donc les clés pour accéder à son bureau, au 10eme étage de la tour. Nous allons donc être aux premières loges.
La pré-soirée est intéressante, mais la suite s'annonce meilleure.
Nous arrivons sur les coups de 22h00 dans le bureau.
C'est comme une grande salle de rédaction, pleins de pc, de tables, mais également pleins de personnes. Chaque personne travaillant ici avait amené un membre de son entourage. Il y a du champagne, de la bière, de la vodka, l'alcool coule à flot. Certains jouent à GTA V projeté sur un mur, d'autres font des jongles avec un ballon de foot...c'est un peu du n'importe quoi je dois avouer, mais c'est drôle.
Quelques verres plus tard, nous assistons enfin au tant attendu feu d'artifice.
J'ai ouïe dire qu'il était long, et magnifique...mouais.
Effectivement, sur un point surélevé, c'est joli, il y a en fait 3 départs différents, donc si on est bien placé, nous pouvons voir les 3.
Un est tiré depuis l'Opera, l'autre depuis l'Harbour Bridge, et le troisième, juste en face.
2 déceptions majeures:
La 1ere est que, étant situé dans un building, nous ne pouvons pas ouvrir les fenêtres (ce ne sont que des vitres, mais sans porte), du coup nous n'avons pas de son...et ce qui fait aussi la magie d'un feu d'artifice, c'est aussi le son (comme quoi on peut pas tout avoir!)
2eme déception, la durée du feu d'artifice. A l'origine on m'avait annoncé quelque chose de l'ordre d'une heure. La réalité fût tout autre, seulement 12 minutes.
Je me suis senti quelque peu lésé; à vouloir trop vendre Sydney, les gens m'ont bien souvent plus dégouté de cette ville qu'autre chose.
C'est en tout cas le ressenti depuis un peu moins d'une semaine.
Feu d'artifice et bouteilles de rhums terminés, nous rejoignons le centre ville... il est environ 2h du matin, des millions de personnes sont dans les rues, l'occasion pour nous de prendre notre premier bain de foule de l’année car oui, nous sommes en 2014...pour l'occasion, bonne année a tous!
Après une attente assez longue, nous arrivons à trouver finalement un bus.
Un peu éméchés mais pas fatigués, nous finissons la soirée dans l'appartement.
C'est bon enfant, et l'ambiance est bonne.
Le jour de l'an se terminera à 13h00 le lendemain quand peu à peu, les derniers guerriers rendront l’âme.
Une longue journée où se sont mêlés, excitation, déception, amusement et alcool...intéressant comme dirait l'autre.
Bondi Beach... où la plage la plus survendue d'Australie.
29 Décembre 2013:
Aujourd'hui, direction Bondi Beach, LA fameuse plage de Sydney, tout le monde en parle, tout le monde me bassine avec cette plage, on va voir ce que ça donne.
Nous y allons avec un pote, sa copine, et mon cousin.
Arrivés sur place, visite des lieux, et de la plage principale.
Pour être honnête, j'ai trouvé cet endroit fade et particulièrement surcoté.
La plage n'a pas de caractère, lorsque nous y étions, la plage était déserte, mais habituellement c'est juste bondé qu'il devient impossible d'y poser sa serviette.
Quelques restaurants aux alentours mais sans plus.
Je vais être un peu méchant, mais même la plage du Grau du Roi a plus de charme, c'est dire...mais que voulez-vous, c'est Sydney, alors ça fait "classe".
Le petit plus, le resto/bar, sur la plage, qui avait l'air assez sympa, nous n'y sommes restés que quelques minutes le temps de boire une bière, mais l'ambiance avait l'air cool.
Après un brin de bronzette, nous sommes allés nous restaurer pas très loin, au Hurricane's Grill, apparemment la viande est de qualité, et la quantité va avec.
Le restaurant fait salle comble, c'est plutôt de bonne augure.
J'ai opté pour le Goliath T-Bone d'1kg...sympa, mais quand même $70 le steak, la proportion de frites en devient pour le coup ridicule.
Cela reste une bonne adresse malgré tout, même s'il faudra banquer.
Voici le steak en question:
Aujourd'hui, direction Bondi Beach, LA fameuse plage de Sydney, tout le monde en parle, tout le monde me bassine avec cette plage, on va voir ce que ça donne.
Nous y allons avec un pote, sa copine, et mon cousin.
Arrivés sur place, visite des lieux, et de la plage principale.
Pour être honnête, j'ai trouvé cet endroit fade et particulièrement surcoté.
La plage n'a pas de caractère, lorsque nous y étions, la plage était déserte, mais habituellement c'est juste bondé qu'il devient impossible d'y poser sa serviette.
Quelques restaurants aux alentours mais sans plus.
Je vais être un peu méchant, mais même la plage du Grau du Roi a plus de charme, c'est dire...mais que voulez-vous, c'est Sydney, alors ça fait "classe".
Le petit plus, le resto/bar, sur la plage, qui avait l'air assez sympa, nous n'y sommes restés que quelques minutes le temps de boire une bière, mais l'ambiance avait l'air cool.
Après un brin de bronzette, nous sommes allés nous restaurer pas très loin, au Hurricane's Grill, apparemment la viande est de qualité, et la quantité va avec.
Le restaurant fait salle comble, c'est plutôt de bonne augure.
J'ai opté pour le Goliath T-Bone d'1kg...sympa, mais quand même $70 le steak, la proportion de frites en devient pour le coup ridicule.
Cela reste une bonne adresse malgré tout, même s'il faudra banquer.
Voici le steak en question:
mardi 10 mars 2015
Maloney's Hotel...la bière et la bonne musique...un duo gagnant
28 Décembre 2013:
Petite soirée pépère au Maloney's Hotel.
Ce bar nous a été recommandé par un ami, nous décidons donc d'y faire un saut.
Le bar se situe sur Goulburn St (corner Pitt St).
Accessible facilement en journée, l’entrée devient beaucoup plus sélecte après 20h00.
Le litre de bière n'est pas très chère, de mémoire $15 environ.
La musique ce soir là a été de très bonne qualité, ça fait plaisir...
Biggie, Nate Dogg, Cypress, Zhane et j'en passe, le Dj enchaine les bons classiques Hip Hop/RnB 90's de quoi s’ambiancer proprement, il se fait et nous fait plaisir!
L'alcool coule à flot, et les filles sont sexy, une très bonne soirée...
Petite soirée pépère au Maloney's Hotel.
Ce bar nous a été recommandé par un ami, nous décidons donc d'y faire un saut.
Le bar se situe sur Goulburn St (corner Pitt St).
Accessible facilement en journée, l’entrée devient beaucoup plus sélecte après 20h00.
Le litre de bière n'est pas très chère, de mémoire $15 environ.
La musique ce soir là a été de très bonne qualité, ça fait plaisir...
Biggie, Nate Dogg, Cypress, Zhane et j'en passe, le Dj enchaine les bons classiques Hip Hop/RnB 90's de quoi s’ambiancer proprement, il se fait et nous fait plaisir!
L'alcool coule à flot, et les filles sont sexy, une très bonne soirée...
lundi 9 mars 2015
Départ pour Sydney...
Nous sommes le 26 Décembre 2013.
Il est temps pour nous de plier bagages, libérer notre magnifique appartement, laisser non sans regret cette charmante petite ville de Brisbane pour nous envoler vers cette très convoitée mégapole qu'est Sydney.
Ayant particulièrement accroché avec Brisbane, et n'étant pas très enjoué à l'idée de découvrir Sydney, je ne voyage pas là-bas avec les meilleurs à priori possible.
Pour moi Sydney, ce n'est ni plus ni moins que Paris, mais en Australie, donc absolument pas intéressant me concernant. J'aime les villes certes, mais celles avec un certain caractère, quelque chose d'unique, pas quelque chose que je pourrais trouver dans toutes les villes au monde...mais voyons voir qui sait, je me trompe peut-être.
A peine arrivés, nous nous rendons pour notre première soirée à l'IVY.
C'est un complexe restaurant/Nightclub, l'un des plus importants de Sydney.
C'est "THE" nightclub selon les clubbers, mais n'étant pas du tout clubber, je reste dubitatif, je suis la troupe, on m'annonce quelque chose d'énorme on sait jamais.
Effectivement il y a du monde, dedans c'est plutôt bien agencé, différentes salles, différentes ambiances, intérieures ou extérieures (avec une piscine).
Pour l'instant la seule chose d’énorme que je vois c'est le tarif des bières du côté de la piscine, ainsi que le mal de crâne à l’écoute de la musique.
A l'intérieur niveau prix c'est un peu moins cher, mais niveau ambiance, même si la musique est un poil plus écoutable qu'à l'extérieur, le DJ lui, ne vaut pas un clou.
Ou peut-être suis-je simplement trop vieux pour ce genre de sorties.
Heureusement j'arrive à boire a l’œil et avoir des pintes de bières pas cher, au moins je n'aurais pas totalement perdu ma soirée.
Après la boite nous filons au Macdo juste en face, ça semble être un rituel pour les personnes que j'accompagne, et pour plus ou moins toutes les personnes de la boite.
Le Macdo est bondé, crade, mais les prix ne sont pas si cher, avec des menus "family" très intéressants. ($19.90 ou $29.90 avec tout un tas de big mac, boissons, et frites).
Bref, une première soirée chargée, mais pas intéressante.
Il est temps pour nous de plier bagages, libérer notre magnifique appartement, laisser non sans regret cette charmante petite ville de Brisbane pour nous envoler vers cette très convoitée mégapole qu'est Sydney.
Ayant particulièrement accroché avec Brisbane, et n'étant pas très enjoué à l'idée de découvrir Sydney, je ne voyage pas là-bas avec les meilleurs à priori possible.
Pour moi Sydney, ce n'est ni plus ni moins que Paris, mais en Australie, donc absolument pas intéressant me concernant. J'aime les villes certes, mais celles avec un certain caractère, quelque chose d'unique, pas quelque chose que je pourrais trouver dans toutes les villes au monde...mais voyons voir qui sait, je me trompe peut-être.
A peine arrivés, nous nous rendons pour notre première soirée à l'IVY.
C'est un complexe restaurant/Nightclub, l'un des plus importants de Sydney.
C'est "THE" nightclub selon les clubbers, mais n'étant pas du tout clubber, je reste dubitatif, je suis la troupe, on m'annonce quelque chose d'énorme on sait jamais.
Effectivement il y a du monde, dedans c'est plutôt bien agencé, différentes salles, différentes ambiances, intérieures ou extérieures (avec une piscine).
Pour l'instant la seule chose d’énorme que je vois c'est le tarif des bières du côté de la piscine, ainsi que le mal de crâne à l’écoute de la musique.
A l'intérieur niveau prix c'est un peu moins cher, mais niveau ambiance, même si la musique est un poil plus écoutable qu'à l'extérieur, le DJ lui, ne vaut pas un clou.
Ou peut-être suis-je simplement trop vieux pour ce genre de sorties.
Heureusement j'arrive à boire a l’œil et avoir des pintes de bières pas cher, au moins je n'aurais pas totalement perdu ma soirée.
Après la boite nous filons au Macdo juste en face, ça semble être un rituel pour les personnes que j'accompagne, et pour plus ou moins toutes les personnes de la boite.
Le Macdo est bondé, crade, mais les prix ne sont pas si cher, avec des menus "family" très intéressants. ($19.90 ou $29.90 avec tout un tas de big mac, boissons, et frites).
Bref, une première soirée chargée, mais pas intéressante.
Mon premier Noël en Australie....retour sur une journée pas comme les autres
Nous sommes le 24 Décembre 2013:
Aujourd'hui c'est le réveillon de Noël, le premier pour ma part hors de France. J'ai souvent voyagé, mais jamais à cette période, spécialement dans l’hémisphère sud.
Aujourd'hui le mercure était assez élevé, nous sommes allez faire un foot quasiment toute la journée dans Roma Parkland, l'immense parc, juste en bas de mon appartement.
Ça fait pas de mal de décrasser un peu les jambes, ça faisait une paie que je n'avais pas couru comme ça.
Le programme de la soirée, passer le réveillon de Noël avec mon cousin.
Tous nos colocs sont partis, nous profitons de l'appartement pour nous seuls.
Nous avons acheté pour l'occasion une bouteille de vin rouge, un Côtes du Rhône, et nous nous apprêtons à cuisiner des Burgers avec de la bonne viande de Kangourou...ça va être un régal.
Nous profitons un max de cette soirée, en effet, les recherches de boulot n'étant pas concluantes, nous avons décidé de tenter notre chance à Sydney, où d'autres amis déjà installés nous attendent, en espérant que la chance tournera.
La leçon à tirer de ce premier échec; tenter sa chance à Brisbane, oui, mais pas pendant les périodes de fêtes. En effet Brisbane est une petite ville, mais une ville Business, la ville n’étant pas directement en bord de mer, elle devient alors presque déserte pendant les fêtes, puisque les Australiens ont pour habitude de passer les fêtes en bord de mer (ou dans leurs familles qui vivent en bord de mer CQFD).
L’activité est alors réduite au minimum, et certains restaurant n’hésitent d'ailleurs même pas à fermer leurs portes pendant un bon moment.
De plus il s'agit de la période de l’année qui correspond aux vacances d'étés que l'on a en France...donc courant Décembre/Janvier, les offres ne courent pas les rues à Brisbane.
Beaucoup d'employeurs nous ont dit de retenter notre chance en Février.
Ne voulant pas attendre tout ce temps car nous voyons notre argent fondre comme neige au soleil, essayons de voir dans la plus grosse ville Australienne.
Normalement les opportunités devraient exister... wait & see...
En attendant, joyeux Noël à tous!!
Aujourd'hui c'est le réveillon de Noël, le premier pour ma part hors de France. J'ai souvent voyagé, mais jamais à cette période, spécialement dans l’hémisphère sud.
Aujourd'hui le mercure était assez élevé, nous sommes allez faire un foot quasiment toute la journée dans Roma Parkland, l'immense parc, juste en bas de mon appartement.
Ça fait pas de mal de décrasser un peu les jambes, ça faisait une paie que je n'avais pas couru comme ça.
Le programme de la soirée, passer le réveillon de Noël avec mon cousin.
Tous nos colocs sont partis, nous profitons de l'appartement pour nous seuls.
Nous avons acheté pour l'occasion une bouteille de vin rouge, un Côtes du Rhône, et nous nous apprêtons à cuisiner des Burgers avec de la bonne viande de Kangourou...ça va être un régal.
Nous profitons un max de cette soirée, en effet, les recherches de boulot n'étant pas concluantes, nous avons décidé de tenter notre chance à Sydney, où d'autres amis déjà installés nous attendent, en espérant que la chance tournera.
La leçon à tirer de ce premier échec; tenter sa chance à Brisbane, oui, mais pas pendant les périodes de fêtes. En effet Brisbane est une petite ville, mais une ville Business, la ville n’étant pas directement en bord de mer, elle devient alors presque déserte pendant les fêtes, puisque les Australiens ont pour habitude de passer les fêtes en bord de mer (ou dans leurs familles qui vivent en bord de mer CQFD).
L’activité est alors réduite au minimum, et certains restaurant n’hésitent d'ailleurs même pas à fermer leurs portes pendant un bon moment.
De plus il s'agit de la période de l’année qui correspond aux vacances d'étés que l'on a en France...donc courant Décembre/Janvier, les offres ne courent pas les rues à Brisbane.
Beaucoup d'employeurs nous ont dit de retenter notre chance en Février.
Ne voulant pas attendre tout ce temps car nous voyons notre argent fondre comme neige au soleil, essayons de voir dans la plus grosse ville Australienne.
Normalement les opportunités devraient exister... wait & see...
En attendant, joyeux Noël à tous!!
Comme un air de vacances.... South Bank (Brisbane)
Nous sommes le 15 Décembre 2013, soit 10 jours avant Noël, je m’apprête donc à fêter mon premier Noël en short, t-shirt, et tongues!!!
C'est donc un réel plaisir pour moi de pouvoir partager ceci...
Une pensée pour mes amis en France =)
C'est donc un réel plaisir pour moi de pouvoir partager ceci...
Une pensée pour mes amis en France =)
Ma recherche de Jobs!
9 Décembre 2013.
Une nouvelle semaine commence, et voici déjà 3 semaines que je suis en Australie.
La recherche de boulot est donc primordiale.
Pour se faire différents outils sont à ma disposition:
- L'outil informatique, en effet je me rencontre très vite qu'internet occupe une place très importante dans le cœur des Australiens, sans doute plus qu'en France.
Peut-être dû à l’immensité du pays, toujours est-il qu'en Australie, quasiment tout se fait par le biais du net, et entre autres la recherche de boulot.
Deux sites réellement important regorgent d'annonces:
"Gumtree", on y trouve tout types de postes (du volontariat, à la ferme en passant par cuisinier et travailler dans la construction).
"Seek" est quand à lui le site n1 pour l'emploi en Australie, ici sont répertoriés uniquement les annonces des professionnels, c'est donc un site de confiance (car attention aux arnaques sur Gumtree).
Pour mes premières recherches je me concentre essentiellement sur ce site là, mais également sur la démarche en personne.
J'ai imprimé bons nombres de CV ("Resume" en Anglais) à l'Office Works (imbattable en terme de tarifs) de Brisbane, du côté de King George Square.
Motivé, bien habillé (costard), je fais le tour des hôtels de Brisbane, ils sont nombreux, je suis plutôt confiant, en France je n'ai jamais réellement mis de temps pour trouver du travail dans l’hôtellerie, on verra bien ici... "fingers crossed" comme on dit...
Une nouvelle semaine commence, et voici déjà 3 semaines que je suis en Australie.
La recherche de boulot est donc primordiale.
Pour se faire différents outils sont à ma disposition:
- L'outil informatique, en effet je me rencontre très vite qu'internet occupe une place très importante dans le cœur des Australiens, sans doute plus qu'en France.
Peut-être dû à l’immensité du pays, toujours est-il qu'en Australie, quasiment tout se fait par le biais du net, et entre autres la recherche de boulot.
Deux sites réellement important regorgent d'annonces:
"Gumtree", on y trouve tout types de postes (du volontariat, à la ferme en passant par cuisinier et travailler dans la construction).
"Seek" est quand à lui le site n1 pour l'emploi en Australie, ici sont répertoriés uniquement les annonces des professionnels, c'est donc un site de confiance (car attention aux arnaques sur Gumtree).
Pour mes premières recherches je me concentre essentiellement sur ce site là, mais également sur la démarche en personne.
J'ai imprimé bons nombres de CV ("Resume" en Anglais) à l'Office Works (imbattable en terme de tarifs) de Brisbane, du côté de King George Square.
Motivé, bien habillé (costard), je fais le tour des hôtels de Brisbane, ils sont nombreux, je suis plutôt confiant, en France je n'ai jamais réellement mis de temps pour trouver du travail dans l’hôtellerie, on verra bien ici... "fingers crossed" comme on dit...
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